Dans
la petite ville de Cast, en Bretagne, vivait un jeune adolescent âgé de treize
ans qui s'appelait Clément. Il habitait dans une maison dont l'un des murs
était recouvert de belles feuilles rouges. A côté, il y avait un jardin avec
des pommiers et des champignons. Une petite barrière située dans le fond du
jardin permettait au jeune homme d'aller dans une forêt remplie de
châtaigniers.
Un jour, Clément était en train de lire un livre près d'un
ruisseau dans ce bois. Il venait toujours là quand il voulait prendre l'air,
lire, être au calme ou qu'il venait de se disputer avec quelqu'un. Il était en
train de lire un passage très intéressant quand sa lecture fut interrompue par
un craquement de branche qui venait de derrière lui. Il sursauta, lâcha son
livre puis se retourna vivement. Sa peur partit aussitôt quand il reconnut son
père qui avait provoqué le bruit. Ils rirent tout les deux de cette frayeur.
Après cela, son père lui expliqua qu'il était venu le voir parce que sa mère
avait besoin de lui. Clément partit donc rejoindre sa mère. Il la trouva dans
la cuisine. Elle lui apprit qu'elle avait un rendez-vous et que le
lave-vaisselle était en panne, en conséquence, il devait faire la vaisselle.
Lorsqu'il eut fini, il joua à des jeux vidéo avant de descendre pour mettre la table. Il était presque vingt-deux heures quand Clément entendit qu'il commençait à pleuvoir. Soudain, il repensa à son livre. Il alla voir son père pour lui demander la permission d'aller chercher son livre. Il l'avait oublié à côté du ruisseau. Son père hésita mais finit par accepter.
Clément mit son manteau et partit en courant jusqu'à la forêt. Une fois là-bas, il remarqua qu'il avait oublié de prendre une lampe. Malgré le fait que sa maison n'était pas loin, il continua dans le noir. Le petit ruisseau où Clément avait passé une bonne partie de l'après midi n'était pas loin, mais il faisait tellement noir et il y avait tellement de petits bruits qui le faisaient sursauter, qu'il prit une demi-heure au lieu d'un quart d'heure pour s'y rendre. Il chercha ensuite à tâtons son livre dans l'herbe. Après avoir mis plusieurs fois sa main sur des bogues, il le trouva. Il allait partir quand il sentit une odeur bizarre. Après réflexion, il avança pour trouver l'origine de cette odeur. Les effluves venaient de l'autre côté de la berge, l'obligeant à traverser un pont.
En traversant une partie du pont céda sous son poids. Clément serait mort s'il ne s'était pas rattrapé de justesse à un bout du pont assez solide pour supporter son poids. Il enjamba la rambarde et rejoignit la terre ferme sans autre accident. Il continua tout droit avant de s’arrêter en découvrant un cadavre. Il resta un moment sans bouger. Puis il se mit à paniquer en voyant que le sang n'était pas sec.
Au même moment, il entendit un buisson bouger. Il fit demi-tour pour rentrer chez lui car il était sûr que le tueur n'était pas loin, peut être même dans le buisson. Il courut, sauta au dessus du trou du pont et entendit des craquements de branches qui provenaient du chemin qui se trouvait à sa gauche. Il en ignorait l'existence. Il continua de courir avant de se prendre une racine qui le fit s'affaler au sol. Là, il se sentit observé ; était-ce le tueur ? Il se releva rapidement mais ne vit personne autour de lui.
Clément prit ses jambes à son cou et remarqua avec effroi qu'il n'était pas le seul à courir car il entendait quelqu'un d'autre courir. Peu de temps après, il fit un grand sourire en voyant l'intersection qui se trouvait près de sa maison. Il était rendu au croisement quand quelqu'un lui sauta dessus. Il cria dans l'espoir que quelqu'un vienne le sauver. Hélas ! Personne n'entendit ses cris. Alors, après avoir vu la lame luire à la lumière de la pleine lune, il mourut, poignardé.
FIN
Lorsqu'il eut fini, il joua à des jeux vidéo avant de descendre pour mettre la table. Il était presque vingt-deux heures quand Clément entendit qu'il commençait à pleuvoir. Soudain, il repensa à son livre. Il alla voir son père pour lui demander la permission d'aller chercher son livre. Il l'avait oublié à côté du ruisseau. Son père hésita mais finit par accepter.
Clément mit son manteau et partit en courant jusqu'à la forêt. Une fois là-bas, il remarqua qu'il avait oublié de prendre une lampe. Malgré le fait que sa maison n'était pas loin, il continua dans le noir. Le petit ruisseau où Clément avait passé une bonne partie de l'après midi n'était pas loin, mais il faisait tellement noir et il y avait tellement de petits bruits qui le faisaient sursauter, qu'il prit une demi-heure au lieu d'un quart d'heure pour s'y rendre. Il chercha ensuite à tâtons son livre dans l'herbe. Après avoir mis plusieurs fois sa main sur des bogues, il le trouva. Il allait partir quand il sentit une odeur bizarre. Après réflexion, il avança pour trouver l'origine de cette odeur. Les effluves venaient de l'autre côté de la berge, l'obligeant à traverser un pont.
En traversant une partie du pont céda sous son poids. Clément serait mort s'il ne s'était pas rattrapé de justesse à un bout du pont assez solide pour supporter son poids. Il enjamba la rambarde et rejoignit la terre ferme sans autre accident. Il continua tout droit avant de s’arrêter en découvrant un cadavre. Il resta un moment sans bouger. Puis il se mit à paniquer en voyant que le sang n'était pas sec.
Au même moment, il entendit un buisson bouger. Il fit demi-tour pour rentrer chez lui car il était sûr que le tueur n'était pas loin, peut être même dans le buisson. Il courut, sauta au dessus du trou du pont et entendit des craquements de branches qui provenaient du chemin qui se trouvait à sa gauche. Il en ignorait l'existence. Il continua de courir avant de se prendre une racine qui le fit s'affaler au sol. Là, il se sentit observé ; était-ce le tueur ? Il se releva rapidement mais ne vit personne autour de lui.
Clément prit ses jambes à son cou et remarqua avec effroi qu'il n'était pas le seul à courir car il entendait quelqu'un d'autre courir. Peu de temps après, il fit un grand sourire en voyant l'intersection qui se trouvait près de sa maison. Il était rendu au croisement quand quelqu'un lui sauta dessus. Il cria dans l'espoir que quelqu'un vienne le sauver. Hélas ! Personne n'entendit ses cris. Alors, après avoir vu la lame luire à la lumière de la pleine lune, il mourut, poignardé.
FIN
Bravo Sara pour ton histoire !! Mon vote va (bien-sûr) pour toi !! Et je peux vous dire qu'elle s'investit énormément, et qu'elle progresse très vite, notamment en orthographe, foi de prof de français... de Sara ;) Bravo Sara, fonce fonce fonce !! T'es la meilleure ^^
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